Depuis le démarrage de la première audience du procès du 28 septembre 2009 mercredi dernier à Conakry, en présence du procureur de la Cour Pénale Internationale et la représentante des nations unies, les attentes deviennent de plus en plus nombreuses.Ainsi , c’est l’organisation internationale de défense des droits humains, Amnesty, qui plaide pour une réparation à l’endroit des victimes de violences sexuelles, lors de cet evement tragique , à l’issue du procès. Intertogée au micro de nos confrères de FIM FM, ce vendredi 30 septembre 2022. Samira Daoud, la directrice régionale d’Amnesty pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, evoque que l’indemnisation des victimes de viol doit être une priorité du gouvernement de transition guinéenne ; « J’attends que les faits soient établis, que les responsables soient condamnés et que les victimes soient dédommagées » , a-t-elle déclarée .
Dans le même sillage , Samir Daoud a sans doute affirmer qu ’il faut que les victimes obtiennent une réparation pour ce préjudice gigantesque. Et que les autorités mettent en œuvre leurs recommandations telles qu’elles se sont engagées .
A rappeler que ce procès après une première audience, se poursuivra donc le 4 octobre prochain au tribunal ad’doc de dixinn.